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| Crédit photo P.Aime |
La nouvelle exposition des « 4 Saisons », « les Pieds dans l’eau », est sur les cimaises depuis samedi, et ce pendant toute cette semaine.
Les (bonnes) surprises sont au rendez-vous. Il est vrai que les idées (bonnes aussi !)sont toujours présentes chez les deux responsables de l’exposition, Mie-Pau Tudesq et Sylvia Paolillo, loin d’être des inconnues pour qui fréquente assidûment la salle Izzo.
La couleur bleue, sous toutes ses teintes sont bien sûr archi dominantes dans les envois mais la présentation a été soignée et enrichie et certains artistes- dont quelques nouveaux- présentent vraiment de belles surprises, à découvrir jusqu’à dimanche prochain. Et pour qui veut se laisser entraîner par le thème, suivons le conseil de la présidente des 4 Saisons , Patricia Cachinasco, qui propose de bien tendre l’oreille et alors on pourra entendre la mer !
Soulignons que « la mairie », toujours très attendue pour ce genre d’événement, était quand même représentée par son toujours aussi souriant Directeur Général des Services, Michel Arrouy,
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Michel Arrouy remercie les trois femmes -joliment chapeautées!- responsables de l'exposition.
jamais le dernier pour encourager le monde de l’Art à Frontignan, présent qu’il était déjà une semaine plus tôt à la performance-spectacle qui s’est tenue chez Caroline Blondeel.
Alors, côté exposition ? L’on retrouve bien sûr les anciens et habitués, avec Miranda et ses petits cailloux-personnages, tout à fait à l’aise sur la plage
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; Sylvia Paolilllo, Patricia Cachinasco, Jean-Louis Delorme, Jean-Louis Estrach avec ses vieux outils recyclés, Mie-Pau,
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Bianca Lovichi-Ivars, Bernadette Dubus avec une table particulièrement remarquée pour la présentation de ses livres
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, Joseph Teyssier avec ses poèmes…font bien sûr partie des piliers de ce genre d’exposition.
Mais parmi ces 27 exposants quelques noms moins souvent vus, l’on remarque une Paulette,
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une Michèle Cuinet-Biau avec sa sirène, ses mers un peu abstraites et son arbre en plastique,
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une Christine Bousquet,
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un Michel Couderc, le Sétois, qui ose le tableau en fer de récupération
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et combien d’autres nouveaux talents qui veulent montrer que par un leur travail original et obstiné ils risquent de monter dans le bateau de l’équipage des collègues reconnus et déjà titrés.
L’ensemble est rafraîchissant, oui, mais aussi très encourageant et optimisant pour l’art à Frontignan, qui vit, et bien, pieds dans l’eau ou pas.
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