La recherche « en francophonie » à Paris est à la fois omniprésente et invisible – on entend ici « francophonie »
de manière étymologique, incluant la France comme objet d'étude. Le cloisonnement disciplinaire et la
répartition des centres de recherches sur une vingtaine d'établissements renforcent la difficulté pour le jeune
chercheur de rencontrer ses rares collègues.